Accusés de pratique commerciale trompeuse par le célèbre pomerol, Jérôme et Stéphane Coureau ont finalement été relaxés en appel. Selon Me Antoine Vey, l’avocat des deux négociants en vin attaqués par Château Petrus, l’arrêt rendu le 3 avril dernier par la cour d’appel de Bordeaux « privilégie la liberté d’entreprendre sur le conservatisme, la liberté du consommateur sur l’encadrement, et rappelle qu’il n’est pas interdit d’avoir une bonne idée et de l’exploiter ! »