Atteint de schizophrénie, l’agresseur du chercheur franco-guinnéen, roué de coups devant sa femme, a reconnu les faits. Tout l’enjeu de la procédure judiciaire consiste à trancher la question de sa responsabilité pénale. Les conclusions des experts psychiatres sont attendues en septembre ou octobre, a rappelé Antoine Vey, l’avocat de l’épouse de la victime.