Antoine Vey, l’avocat des frères Tafanel, propriétaires de la brasserie parisienne, a indiqué qu’il y avait à l’origine de cette affaire une dénonciation calomnieuse d’un employé d’une société qui vendait un logiciel de caisse présentant une anomalie : il n’a jamais été question de dissimuler des recettes.