Comment d’étudiant à Sciences Po peut-on devenir avocat pénaliste ? Et pourquoi notre cabinet recrute des étudiants de Sciences Po ?

C’était le sujet de l’échange avec des étudiants de l’École de droit de Sciences Po lors de leur visite au cabinet, il y a quelques jours.

Trois avocats de Vey & associés, diplômés de Sciences Po, Antoine Vey, Lydia Benamara (pôle pénal des affaires) et Maëlys Renoux San Millan (pôle international) ont fait part de leurs parcours, et de ce passage toujours délicat entre formation et vie active.

Quels sont les expériences les plus structurantes que l’on a pu faire pendant nos études et qui restent encore utiles dans notre pratique professionnelle ? La découverture d’une autre langue, d’une autre culture ? L’apprentissage de la méthode juridique ? Les concours d’éloquence ? Les rencontres ? Au fond, difficile de savoir quels événements provoquent la chance de trouver sa voie professionnelle au fil de son cursus.

Côté cabinet, il est clair que la formation de Sciences Po continue d’apporter aux étudiants une incontestable agilité intellectuelle, une ouverture sociétale et une capacité à s’exprimer clairement, qui forment un socle très utile pour la profession. Sciences Po est-elle la meilleure sur le terrain strictement juridique ? Disons que le cursus théorique n’a cessé de se renforcer au fil des ans, et que les étudiants peuvent s’y enrichir d’expériences pratiques et y rencontrer des professionnels de premier plan.

C’est pourquoi nous continuons à avoir grand plaisir à accueillir des étudiants de Sciences Po lors de leurs stages, et nous continuons de recruter des juristes issus de cette formation. Ils apportent, avec leurs singularités, des forces nouvelles dans notre collectif.

Merci à Sophia Fraga Jeannez, ancienne stagiaire, d’avoir suscité cette rencontre.